jeudi 15 décembre 2011

Santiago (Jour 66 à 69)

Santiago, capitale du Chili... La ville nous a fait bien meilleure impression que Lima (capitale du Pérou). Propre, bien organisée, beaucoup de parc, une circulation des véhicules assez fluide, un métro... Bref, nous avions l'impression d'être revenus à Paris, ce qui nous a fait plutôt bizarre, après deux mois et demi de vadrouille dans une atmosphère sud-américaine.




Même si Santiago est une capitale très polluée, la nature reste tout de même très présente. Ci-dessus, la photo a été prise depuis le sommet d'une colline boisée qui se trouve au beau milieu de la ville. Depuis ce point de vue, on peut admirer les Andes qui dominent la ville (et qui sont enneigées en hiver, mais là, au Chili, nous sommes en été)


Ci-dessus, une rue du quartier Providencia, où nous logions chez Hanane, une amie marocaine installée à Santiago depuis deux ans. Un quartier résidenciel très tranquille...


Autre perspective de Santiago, le quartier d'affaires avec ses buildings, vu depuis un pont agrémenté de statues... Cité-business, cité-culturelle... Et au milieu cet horrible fleuve boueux et peu profond qui dévalle la pente et qui fait tâche !



Nous n'avons pas croisé d'étudiants manifestant pour une éducation moins chère, mais nous avons pu voir de nombreux slogans affichés sur les murs, et aussi cette curieuse installation de chaises d'écoles...


Hanane nous a emmenés au marché de la Vega, le plus gros marché de la ville, avec des kilomètres et des kilomètres d'étalages de fruits, légumes, viandes, poissons, épices....






Les étalages sont appétissants, et malgré le tintamarre, ce petite chaton dormait comme un sourd... Peut-être qu'il était à vendre, avec le kilo de tomates ?



Après le marché, Hanane a organisé un asado (un barbecue) à la marocaine (avec des bonnes keftas, mmmm!). Et elle nous a fait une petite démonstration de salsa avec l'un de ses amis.



Notre passage à Santiago était bref mais très sympa et animé (malgré la chaleur très lourde qui pèse sur la ville). Nous étions quand même contents de repartir vers de nouvelles aventures, dans la nature...


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